dimanche 31 octobre 2010
When Legends Gather, Elvis with....
jeudi 28 octobre 2010
When Legends Gather, Elvis with....
Faron Young & Elvis Presley |
Elvis Presley & Bobby Darin |
Elvis & The Browns |
Eddy Arnold & Elvis |
Merle Kilgore & Elvis |
Susan Hayward & Elvis |
Billy Ward & Elvis |
Elvis & Jackie Wilson |
Elvis, Natalie Wood & Nick Adams |
Elvis & Hank Snow |
Elvis & The Willburn Brothers |
Gov. George C. Wallace (D-AL) and Elvis Presley |
Elvis & Johnny Horton |
Elvis & Jim Brown |
mercredi 27 octobre 2010
mardi 26 octobre 2010
Maquillage de Marilyn Monroe
Le paradoxe de Marilyn, selon Georges Masters (célèbre maquilleur à Hollywood), c'est que "plus elle est maquillée, plus elle semble naturelle!".
Marilyn utilise un peu de base, une touche de fond de teint très blanc, de la poudre, du blush (un nuage), du rouge à lèvres et des faux-cils. Les paupières sont creusées à l'ombre blanc-argent, rehaussées d'eye-liner (Marilyn adorait le regard de Marlène Dietrich), son grain de beauté est souligné au pinceau.
C'est le look "blanc-sur-blanc" (cheveux cendrés sur peau crémeuse) que Marilyn baptisait "taie d'oreiller"..
Georges Masters tint aussi ces paroles: “Quand on la maquillait ou que je la coiffais, il se produisait en elle un changement extraordinaire, et elle devenait “Marilyn Monroe”.
Sa voix changeait, son attitude et ses gestes n'étaient plus les mêmes, elle cessait d'être la banale fille en jeans délavé et en chemise froissée de tous les jours.
Je n'ai jamais assisté à une telle métamorphose. Elle était fantastique!
Elle savait exactement se mouler dans l'image que le public voulait voir.”
Marilyn utilise un peu de base, une touche de fond de teint très blanc, de la poudre, du blush (un nuage), du rouge à lèvres et des faux-cils. Les paupières sont creusées à l'ombre blanc-argent, rehaussées d'eye-liner (Marilyn adorait le regard de Marlène Dietrich), son grain de beauté est souligné au pinceau.
C'est le look "blanc-sur-blanc" (cheveux cendrés sur peau crémeuse) que Marilyn baptisait "taie d'oreiller"..
Georges Masters tint aussi ces paroles: “Quand on la maquillait ou que je la coiffais, il se produisait en elle un changement extraordinaire, et elle devenait “Marilyn Monroe”.
Sa voix changeait, son attitude et ses gestes n'étaient plus les mêmes, elle cessait d'être la banale fille en jeans délavé et en chemise froissée de tous les jours.
Je n'ai jamais assisté à une telle métamorphose. Elle était fantastique!
Elle savait exactement se mouler dans l'image que le public voulait voir.”
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